2020
Autant le dire clairement la majorité fracturée, divisée, empêtrée, a d’ores et déjà lancée la campagne des Municipales de 2020. Même si les divisions sur le fond sont de façade, les appétits sont bien réels.
Les calculs politiciens et cyniques, qui vont avoir lieu dorénavant, vont peut être permettre à d’autres de parler du fond et de penser la vie de notre cité au regard des enjeux environnementaux et climatiques. Au regard également des inégalités qui se creusent comme jamais et, que depuis 25, les conservateurs en place refusent d’aborder autrement que par la politique du pansement. Politique souvent opportuniste d’ailleurs car déclenchée par des aides d’autres collectivités ou de l’État. Sans les euros du programme « Action Cœur de ville », aucune initiative n’était programmée pour lutter contre la désertification des centres-villes. Désertification que ces mêmes conservateurs ont largement contribué à créer.
Le transport, la construction de logements, l’implantation de services publics, la revitalisation des centres-bourgs, les aides au développement économique et au mouvement associatif, la facturation de l’eau et la fiscalité locale sont autant d’enjeux cruciaux qui doivent mieux permettre de penser la répartition des richesses au sein de notre communauté et de contribuer positivement au enjeux climatiques et sociaux considérables.